
Le Bureau National de Vigilance Contre l’Antisémitisme (BNVCA) dénonce avec force l’intrusion de propagande idéologique mensongère dans les écoles de la République.
Nous avons été alertés par plusieurs parents d’élèves sur le contenu d’un article publié dans « Mon Quotidien », journal destiné aux enfants de 10 à 13 ans, auquel de nombreuses écoles sont abonnées via les coopératives scolaires.

Dans un traitement gravement biaisé du conflit au Proche-Orient, Mon Quotidien inverse les rôles et reprend à son compte la propagande du Hamas :
• Il accuse l’armée israélienne de se servir de la population gazaouie comme bouclier humain, alors qu’il est établi par de nombreux rapports que c’est le Hamas qui utilise cette méthode barbare, en installant ses armes et centres de commandement au cœur des zones civiles.
• Il passe sous silence les massacres du 7 octobre 2023, le viol des cessez-le-feu par le Hamas et l’instrumentalisation cynique de l’aide humanitaire par les organisations terroristes.
Cette désinformation manifeste, à destination d’un public scolaire, constitue une tentative d’endoctrinement gravissime, qui banalise le terrorisme et jette l’opprobre sur une armée démocratique confrontée à une organisation islamiste génocidaire.
Nous posons une question essentielle :
Jusqu’où et jusqu’à quand la République tolérera-t-elle l’empoisonnement idéologique de sa jeunesse ?
Le BNVCA exige :
• L’ouverture immédiate d’une enquête par le ministère de l’Éducation nationale sur la validation de ce contenu ;
• La suspension immédiate de tout abonnement scolaire à Mon Quotidien tant que des garanties d’objectivité ne seront pas données ;
• Une mise au point publique rappelant que l’École de la République ne saurait être le vecteur d’aucune propagande, ni islamiste, ni gauchiste, ni complotiste.
La lutte contre l’antisémitisme passe par la protection de l’esprit critique et de la vérité, dès le plus jeune âge.
© BNVCA
Ouvrez les manuels d histoire a la page consacrée a la naissance d Israel , vous y trouverez la propagande islamo française en vogue depuis plus de 45 ans , cette publication extra scolaire ne fait que coller a la doxa imposée par les gouvernants français .
çà n’est malheureusement pas nouveau, mais çà s’intensifie. Il y a plus d’une dizaine d’années, le magazine çà m’intéresse publiait des cartes du Moyen-Orient sans Israël, on ne trouve plus aujourd’hui de guides de voyages sur Israël sans y trouver les « inévitables » territoires palestiniens (quand ce n’est pas la Palestine qui a effacé Israël) et en cette période de Bac, vous pourrez trouver dans les cahiers de révision du Bac réalisés par le Monde en collaboration avec l’éditeur Rue des écoles, spécialiste des cahiers de vacances et autres manuels de révision, des dossiers sur Israël et le conflit israélo-palestinien qui sont révisionnistes. J’avais réalisé en juin 2018 un rapport sur le dossier de 4 pages consacré à Israël par ces cahiers du Bac, rapport que j’avais intitulé « Pour Le Monde, les bacheliers aussi doivent être
endoctrinés ! ». Voici un extrait de mon rapport de l’époque :
« La présentation du dossier consacré au Proche et au Moyen-Orient (pages 60 à 63) paraît plutôt agréable, proposant plusieurs rubriques : un essentiel de cours, une étude critique de document, une composition (dissertation) à réaliser à partir d’un plan-type proposé et bien sûr un ensemble de clés (mots, dates, notions) destinées à comprendre cette question épineuse qui, comme l’affirme le dossier, est « une poudrière » et un « foyer de conflits depuis la fin de la Première Guerre Mondiale ». L’étude des quatre pages du dossier révèle rapidement un grand nombre d’approximations, de contre-vérités et d’erreurs auxquelles le quotidien du soir, ex-référence de la presse écrite qui se targue pourtant de diffuser une information véridique et fiable, nous a hélas habitué depuis longtemps. Les méthodes utilisées sont toujours les mêmes : omissions, analyses biaisées, raccourcis historiques, manichéisme, course à la victimisation, réécritures historiques destinées à susciter l’émotion, la culpabilisation et la repentance du méchant colonisateur occidental blanc que nous sommes tous en puissance aux yeux de la bien-pensance droit-de-l’hommiste et antiraciste. C’est bien de parti-pris idéologique qu’il s‘agit puisque jamais la violence du conflit ou le recours au terrorisme ne sont évoqués. Le mot terrorisme est même étrangement absent de ces quatre pages. Tout au plus évoque-t-on – une seule fois – « des organisations » islamiques « prenant parfois l’aspect d’organisations terroristes », l’adverbe parfois étant destiné à instiller le doute chez le lecteur qui ne doit surtout pas faire d’amalgame entre islam et terrorisme, et illustrant bien le déni de réalité de tous ceux, à commencer par la presse mainstream, qui refusent de voir que justement toutes les organisations islamistes sont terroristes ! Ainsi, pas de mention des morts tués par le terrorisme palestinien dans le monde et notamment en Europe – Le Monde a la mémoire sacrément courte – ni un mot sur les athlètes israéliens assassinés aux Jeux Olympiques de Munich. Pour Le Monde, l’OLP « mène une lutte armée », cette expression à connotation positive permettant de légitimer l’action terroriste qui logiquement trouve son accomplissement – donc sa justification – dans la négociation puis la signature des accords d’Oslo. Le Monde qui décidément voit des réfugiés palestiniens partout omet volontairement de rappeler que les palestiniens ont détruit de l’intérieur le Liban pour y implanter des bases terroristes d’attaques vers Israël, « ce qui conduit Israël à intervenir sur son territoire en 1982 » et contre l’organisation terroriste du Hezbollah « en 1986 ». Les erreurs volontaires et la désinformation abondent, assorties systématiquement d’une présentation négative : par exemple, s’il existe une problématique relative à l’eau dans ces régions arides, le conflit israélo-palestinien n’est pas un conflit pour l’eau comme l’affirme le dossier et on regrettera à ce propos que la coopération jordano-israélo-palestinienne (dite du « canal de la Paix ») ou le partage des technologies de gestion des ressources en eau ne soient jamais mentionnées. Les aspects identitaires, historiques et religieux du conflit sont systématiquement minorés au profit d’une interprétation purement territoriale (« colonisation », « territoires occupés »), alors que d’un point de vue islamique, toute terre ayant fait partie du Dar el Islam – c’est bien le cas de la Palestine sous domination ottomane – est destinée à rester dans le giron de l’islam et c’est bien cet argument qui explique que certains territoires soient disputés autant que l’irrédentisme arabo-palestinien, l’échec des accords d’Oslo et le statu quo actuel.
Voilà donc en quatre pages un aperçu de ce que peut réaliser Le,Monde : un dossier à la prétention historique, mais fait d’une histoire pour les Bisounours, à la fois inexacte, approximative, manichéenne, avec des analyses très discutables et d’un parti-pris évident : celui d’un islam fantasmé par l’Europe, d’un Islam « des Printemps arabes qui suscitent des espoirs », alors que l’Islam, le vrai, est fondamentalement politique, exclusif et absolu dans tous les actes de la vie ».
Malheureusement rien de nouveau sous le soleil ! Il faut continuer inlassablement à rétablir la vérité, car comme l’affirmait Orwell « à une époque de supercherie universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire » !
Tout commence sur les bancs de l’école : la nazification ou islamonazification de l’EN et des universités a précédé et préparé celle de la classe dirigeante et d’une grande partie de la population. Seule une population d’arriérés mentaux peut gober la propagande raciste et antisémite des palestinistes, des indigénistes, de BLM, du PIR _ de même que la propagande militaro-fasciste des russophobes pro-Kiev. Et Voter Macron. La réécriture de l’histoire, aussi omniprésente dans l’UE, l’UK et en Amérique du Nord que dans les dictatures islamistes et en Afrique du sud + la novlangue orwellienne + l’inversion totale des valeurs que véhiculent écoles et universités fabriquent une population fanatisée et lobotomisée. Celle-ci répète « Free Palestine », ou « Black Lives matter » ou « From the river to the sea » de la même manière que les foules allemandes des années 30-40 répétaient des slogans hitlériens .
C’est de cette manière que fonctionnent tous les régimes totalitaires, et a fortiori nazis.
Je peux témoigner que la bibliothèque de mon collège/lycée contenait une BD de propagande palestiniste. Et c’était dans les années 1980-1990…
Le niveau dramatiquement bas de l’éducation nationale contribue à créer une population incapable de penser par elle-même et de penser tout court. Et c’était déjà le cas dans les années 90, 80, voire 70.
A chacun sa vérité. D.ieu jugera,en attendant Israel est debout, Israel se bat, pour sa liberté,pour que ses Terres brûlées par le terrorisme hamas refleurissent, que les kibutzim soient reconstruits que les otages vivants et morts rentrent en Israel.Gloire à notre D.ieu Tout Puissant, Vive Israel!
IL FAUT PORTER PLAINTE
Et aller sur cnews pour en parler , que fait le CRIF et toutes nos associations
Je confirme. Pour mon cadet en 5ème, en cours d’Histoire-Géographie, en plus de transformer l’Histoire et la Géographie en propagande écologiste, sur le thème du parcours de l’eau, le professeur a enseigné que :
(dixit le professeur)
La guerre « Israël/Palestine » a été déclenchée par Israël qui attaquait la Palestine pour s’approprier « l’or bleue » de la Palestine comme l’eau était rare dans cet endroit du monde.
J’ai dû tirer à boulet rouge par un courrier au principal, du rappel du 7 octobre, pogrom et prise d’otages ET du fait de l’eau en Erets qui en a plus qu’assez pour sa population, son agriculture au point d’en exporter comme en Jordanie. Tout en rajoutant qu’un enseignant n’a pas à utiliser sa fonction d’influence pour de la propagande.
Le retour du proviseur a été que le proviseur que j’allais trop loin à parler de propagande, mais toutefois le professeur a été remis à sa place.
BH ça l’a calmé, mais encore énormément de propagande écologiste et woke dans l’enseignement, c’est à se taper la tête contre les murs, chaque jour je dois vérifier ce qui a été dit afin de recadrer les choses en refaisant des cours à mon enfant. Avant j’avais toute confiance dans l’enseignement national, maintenant c’est la Pravda et dans presque toutes les matières : Histoire, Géographie, français, anglais, espagnol, latin, « Vie de classe » (LA nouvelle matière top-woke anti-juive et anti-Israël) et SVT.